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Ces villes où il fait bon travailler

Nantes arrive première du classement

Nantes arrive première du classement - dr

L’Express a réalisé son palmarès des villes où le travail est le plus agréable. En termes de croissance, de possibilités d'emplois ou de liaison avec Paris et à l'échelle européenne. Le trio gagnant : Nantes, Tours et Poitiers, par ordre décroissant de taille de la commune.

Le magazine a passé au crible cinquante communes, à travers dix indicateurs : l’emploi, le taux de chômage, les prix de l’immobilier de bureau, la desserte par rapport à Paris en train et l’Europe en avion, les pôles de compétitivité, le niveau de créations d’entreprise, ou encore la croissance de l’emploi durant les dix dernières années.

En tête du classement et à taille comparable, Nantes arrive en tête, devant Rennes et Lyon, au sein des métropoles de plus de 500 000 habitants. Tours précède Metz et Orléans dans la catégorie des grandes villes de 250 000 à 500 000 habitants. « Et pour les villes moyennes (de 150 000 à 250 000 habitants), Poitiers est accompagnée par Besançon et Nîmes », explique L’Express suivant ces critères.

Un concentré d'avantages à Nantes

Ces trois villes de l'Ouest de la France, une zone qui cumule en effet nombre d’avantages : taux de chômage faible, « dynamisme de la création d'entreprise et de l'emploi durant la dernière décennie, immobilier de bureau à des tarifs raisonnables et réseau TGV qui met n'importe quel point (...) au cœur de l'Europe », précise L'Express. Nantes obtient la première place, dans sept de ces dix domaines. Un seul point noir dans la cité des ducs de Bretagne, toutefois : les prix élevés de son immobilier de bureau, comme le relève l’hebdomadaire. A noter que Toulon, dans cette catégorie, fait à l'inverse figure de « mauvaise élève ».

Tours à une heure de Paris, de l'emploi public à Poitiers

Concernant Tours, on retiendra parmi les points positifs son faible taux de chômage, sa desserte TGV qui permet à la ville de joindre Paris en moins d’une heure, ainsi que ses faibles coûts d’installation. Mulhouse a quant à elle du mal à relever la tête, « victime de la disparition des emplois industriels ».

Enfin, Poitiers, préfecture de la Vienne, ville « dynamique » et également facilement reliée à la capitale, est un véritable vivier d'emplois publics. Ce qui n’est pas le cas pour Angoulême, Thionville et Montbéliard, par exemple. Des villes qui « n'ont pas été épargnées par la crise », conclut L’Express.

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André Figeard