"L'attentisme ne va pas durer dans l'immobilier" (FNAIM)
Des nécessités de vie sont en effet à l’origine de 90% des transactions (mariages, séparations, naissances, décès, mutations professionnelles). Dans la plupart des cas, les acquisitions font d’ailleurs suite à une revente, « créant un mécanisme de satisfaction des besoins ». En outre, la baisse des prix « crée des opportunités » pour les ménages acquéreurs qui se trouvent « clairement resolvabilisés », alors même que les vendeurs continuent à réaliser de « confortables plus-values », issues de dix années de hausse consécutives. Les mesures adoptées en France et en Europe –parmi lesquelles l’extension du prêt d’accession sociale à 60% de la population –devraient, enfin, « assouplir les conditions d’octroi des crédits immobiliers ».
Pour ces trois raisons, « L’attentisme ne va pas durer dans l’immobilier », assure la FNAIM.
A.R.