Mal logement : La Fondation Abbé Pierre veut une "volonté politique forte"
Si aucune décision n’a été prise, la Fondation a apprécié le message « volontariste » exprimé par le secrétaire d’Etat.
« Nous avons en revanche eu une discussion plus difficile sur certains choix économiques » poursuit le porte parole. « L’Etat se prive de recette avec la loi Scellier » explique t-il, avant de mentionner que Benoist Apparu et le secrétariat d’Etat avait eu un « désaccord sur le moratoire des expulsions locatives ».
« Notre message reste le même : sensibiliser, interpeller, informer sur les problèmes du logement en France » explique t’on à la Fondation. « Les outils politiques sont disponibles. Il faut maintenant que cela soit relayé sur le terrain par une volonté politique forte et davantage de moyens financiers ».
B.O.