Questions à Frédérique Masson, agence Laforêt, rue Montmartre, à Paris
Pour eux, l'emplacement prime. Le prix au mètre carré n'est pas leur priorité. L'autre type de clientèle est représenté par de jeunes cadres trentenaires, célibataires pour la plupart, qui veulent vivre dans un secteur animé, près des restaurants, des cinémas... Existe-t-il encore des opportunités ? Le quartier est déjà cher. Compte tenu des prix très élevés, supérieurs en moyenne à 6 500 euros au mètre carré, parler d'opportunité est difficile. D'autant que les vendeurs, conscients que le marché se situe au sommet du cycle de hausse, cherchent à négocier des prix le plus élevés possible. Néanmoins, l'investissement locatif reste très recherché, surtout pour des studettes, à environ 100 000 euros, qui seront financées par un emprunt à 100 %.
Propos recueillis par Sophie Liotier