Ouverture d’un procès de corruption immobilière en Espagne
Parmi les personnalités soupçonnées, on trouve Marisol Yague, maire de 2003 à 2006, qui risque une peine devingt ans d’emprisonnement. Son prédecesseur, Juan Munoz, risque quant à lui 10 ans de réclusion. Juan Antonio Roca, ancien conseiller à l’urbanisme et qui pourrait être le « cerveau » de l’affaire, risque quant à lui une peine de trente années de prison.
Fonds illégaux, Malversations, détournements...
Ils sont en outre soupçonnés d’avoir reçus des fonds pour avoir assuré la réussite de certaines opérations, de malversations et de détournements de fonds publics, dans cette affaire qui a généré des millions d’euros. Seront également entendus dans ce procès qui durera plus d’un an des représentants de la ville, des avocats et des notables de Marbella.