Le surendettement des ménages progresse encore

Le volume de dossiers est alimenté à 40 % par des « redépôts », c’est-à-dire des dossiers pour lesquels une première solution n’a pas fonctionné. L’immobilier n’est pas étranger au phénomène : « Nous nous occupons désormais de jeunes ménages qui se sont fortement endettés pour acheter leur premier logement, mais aussi de seniors qui ne joignent plus les deux bouts », a expliqué au quotidien Les Echos Jean-Louis Kiehl, président de la fédération Crésus. Quelque 195 219 dossiers ont été déclarés recevables l’an dernier, sensiblement comme en 2012.

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