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Des idées pour réconcilier les Français avec les agents immobiliers

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Manque de proximité, conseils inadaptés, implication dans la vie de quartier jugée insuffisante… Selon un sondage Ifop pour le réseau Guy Hoquet, 66% des Français ont une mauvaise opinion des agents immobiliers. « Il est probable que l’ouverture d’agences par des non-professionnels de l’immobilier explique en partie la dégradation de l’image de cette profession », avance Guy Hoquet, qui appelle à s’« interroger rapidement sur les causes » de cette désaffection.

Le sondage fournit des pistes de réflexion, puisque 57% des personnes interrogées souhaitent qu’un agent immobilier leur propose des solutions adaptées à leurs souhaits, tandis que 48% jugent primordiale sa capacité à les informer sur la législation et les prix en vigueur, et que 36% d’entre eux réclament une bonne connaissance du marché. Décidément très exigeants, les sondés attendent également de l’agent immobilier idéal qu’il dispense plus facilement des conseils non commerciaux (pour 95% d’entre eux), et qu’il s’implique davantage dans la vie sociale de son quartier (75%).

« Les conclusions de cette étude rejoignent en grande partie l’analyse que nous faisons du marché immobilier et de la profession telle qu’elle se pratique aujourd’hui : en période de crise, nous devons plus que jamais porter nos efforts sur le renforcement de notre expertise et sur la qualité de la relation client », indique Guy Hoquet.

E.S.

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