Immobilier et ralentissement économique
A noter cependant que l'activité devrait rester « soutenue par un commerce extérieur qui profiterait de la dépréciation passée du dollar et, temporairement, par la relance fiscale ».
Même son de cloche au Royaume-Uni, où le marché immobilier s’est également retourné : « l’investissement en logement des ménages aurait reculé au premier trimestre en lien avec un ajustement assez brutal des prix immobiliers », indique l’Insee, et la croissance économique serait « atone » d’ici la fin de l’année.
L’Institut poursuit son inventaire et note que la situation du marché immobilier est « moins préoccupante en moyenne » dans la zone euro, « même si les marchés immobiliers de certains pays comme l’Espagne, la Finlande ou l’Irlande s’ajustent brutalement et qu’il n’est pas exclu que d’autres leur emboîtent le pas ».
E.S.