Faut-il vendre la maison de l'ambassadeur ?
C’est en effet ce qu’a envisagé Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, « lorsque cela est possible ». Le ministre a néanmoins assuré que « les crédits pour l’enseignement du français à l'étranger ou touchant à la sécurité des personnes et des établissements français à l'étranger seraient préservés ».
Ainsi, des locaux pourraient ainsi être mutualisés, comme c’est le cas en Belgique et à Vienne, en Autriche, où « la France compte un ambassadeur (en Autriche), un représentant permanent auprès de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et une représentante permanente auprès des Nations unies », explique la revue économique en ligne. A suivre...