A Toulouse, évacuation de "l'immeuble de la honte"
Claude Touchefeu, adjointe au maire à la solidarité et à la politique de la ville, estime qu’une « centaine d’occupants pourrait encore se trouver dans les lieux », rapporte le quotidien. Un chiffre difficile à apprécier du fait du nombre d'habitants en situation irrégulière, quelquefois dépourvus de bail.
Pour, Pierre Cohen, le maire de la ville, cité par La Dépêche : « les Castalides sont hélas l’exemple le pire en matière de copropriété dégradée et de désengagement des copropriétaires, dont certains étaient de véritables marchands de sommeil ».
A terme, l’édifice réhabilité voire reconstruit pourrait accueillir des étudiants ou des jeunes travailleurs, a précisé le maire de Toulouse dans les colonnes du journal.