Terrain dégagé pour la rénovation thermique
L’étude indique également que 200 milliards d’euros devraient être dépensés en France au cours des dix prochaines années pour améliorer l’isolation des logements et des locaux tertiaires. L’analyse relève également que le marché relève d’une réglementation favorable puisque l’Etat mise sur la réduction de la consommation énergétique des bâtiments anciens dans le cadre de la lutte contre les gaz à effet de serre.
Xerfi mise sur une progression de « seulement » 4 % en valeur en 2010, en raison du choix du gouvernement de réduire le taux du crédit d’impôt sur les fenêtres à partir du 1er janvier 2010 de 25 % à 15 %. La note prévoit toutefois qu’à terme, le marché prendra son envol avec la montée en puissance des chantiers dans les logements sociaux et dans les bâtiments publics. « Les travaux dans le résidentiel et dans le tertiaire privé seront en revanche dépendants des mesures d’accompagnement de l’Etat » conclu Xerfi.