L'assurance-vie, "un concentré d'avantages fiscaux"

En effet, alors que l’éventualité de la suppression de l’ISF devait se répercuter par un financement à hauteur d’1 milliard d’euros par les placements en assurance-vie, ces derniers ne seront affectés que sur leur imposition lors du décès du souscripteur, selon Les Echos. Mesure qui se traduira par « le relèvement de 20 à 25 %, de l’imposition des produits d’assurance-vie transmis au décès du souscripteur, pour un rendement évalué à 40 millions d’euros », rapporte le quotidien.

Ce qui fait qu’in fine, Gilles Carrez estime que l’assurance-vie va demeurer « un concentré d’avantages fiscaux »...