Immobilier : La moitié seulement des Parisiens achètent à Paris

Une part faible mais en progression de plus de trois points sur un an, puisque seulement 47,7 % des emprunteurs étaient dans cette situation au premier semestre de l’année dernière. L’étude montre que la part des emprunteurs parisiens achetant en Île-de-France a progressé elle aussi (de 34 à 36 % en l’espace d’un an), tandis que celle des ménages réalisant une acquisition en province a chuté de manière très nette (de 18,5 à 13 %).

« Cela s’explique par un recentrage sur l’achat d’une résidence principale, au détriment d’une résidence secondaire ou un d’un investissement locatif, dont la fiscalité est moins avantageuse qu’elle n’a pu l’être », analyse Sandrine Allonier, porte-parole du groupe. Ainsi, la proportion des biens achetés à usage de résidence principale est passée en un an de 71 à 78,5 %, tandis que celles des investissements locatifs et des résidences secondaires ont reculé respectivement de 21,5 à 17,5 %, et de 7,5 à 4 %.